Je suis à la fois consultante, coach et mentor en management, facilitatrice en intelligence collective, et dans ce cadre, j’accompagne aussi bien des dirigeants, des managers ainsi que leurs équipes respectives.
Au niveau collectif, j’interviens sur trois volets :
Pour aborder tout cela, j’utilise la systémie et l’intelligence collective : lire le vivant, tout ce qui se passe dans le non-dit, analyser ce qui se passe dans un collectif et le faire cheminer vers ses objectifs.
Ce qui fait ma singularité dans la manière dont j’accompagne mes clients, ce sont mes approches via l’innovation, l’aspect disruptif, le test & learn et la prospective, avec des thématiques tournées vers les relations humaines et les enjeux sociaux et sociétaux (inclusion, diversité, santé mentale, care management…).
Et à cela, j’ajouterais mes capacités relationnelles. On m’appelle la « semeuse de graines » ! Je pose des questions puissantes, je sème des graines et cela fait émerger des choses… parfois plusieurs années plus tard.
Les relations dans l’univers de l’entreprise sont, selon moi, quelque chose de prioritaire. C’est ce qui va faire que le terreau sera bon pour pouvoir ensuite aller travailler sur d’autres sujets.
Ces relations humaines, je les ai retrouvées dans le collectif @arboriia. Entre membres actifs, il y a un réel partage. Cela permet de s’enrichir, d’innover et de tenter de nouvelles expériences.
Parallèlement, je dédie une partie de mon temps au bénévolat et au mécénat de compétences.
Par exemple, pendant dix ans, j’ai été représentante des « Femmes du numérique » au sein du Syntec numérique, maintenant Numéum.
Je suis aussi très impliquée dans tout ce qui est entrepreneuriat et innovation, avec la co-création, il y a quatre ans, d’un tiers-lieu en Alsace au sein duquel nous avons monté une équipe (de 25 à parfois 100 personnes) qui anime des ateliers et propose des événements à des porteurs d’idées et de projets. Nous sommes en quelque sorte dans une phase de « pré-incubation », pour détecter les porteurs d’idées et les aider à passer de l’idée au projet, en les mettant en connexion.
À travers cela, je suis sollicitée pour réaliser du mentorat, comme récemment auprès d’Orange, ou encore pour faciliter des hackathons. Et, entre autres engagements communautaires, je fais également du coaching auprès de réfugiés et du mentorat auprès de jeunes.
Je trouve que l’entraide et le savoir-vivre ensemble sont vraiment importants — le fait d’apporter son soutien ou simplement d’écouter sans juger.
J’ai choisi de me lancer en tant qu’indépendante en 2020.
Le 5 mai 2020, à la sortie du COVID, la première société immatriculée en tant que bêta-testeur du nouveau système d’immatriculation était la mienne : « PropulZ’up ».
Pour moi, devenir entrepreneure, c’était pouvoir exprimer ma singularité dans ce que j’apporte, le faire à mon image et avec mon ADN. Je voulais pouvoir créer des choses qui n’existent pas encore, qui demandent de l’audace et pouvoir utiliser tous mes potentiels.
D’ailleurs, la devise de mon entreprise est à l’image de cela : « Osez l’expérience ! »
Si je devais donner un conseil à quelqu’un qui souhaite se lancer dans cette aventure, ce serait de développer son réseau professionnel et de cultiver son intelligence relationnelle ! L’expertise métier ne suffit pas.
La dimension du réseau professionnel est souvent sous-estimée, alors que cela permet de s’enrichir de ce qui existe, de faire de l’analyse et de créer des liens de confiance avec son écosystème.
C’est ce mindset que j’essaie de transmettre : un mindset d’ouverture, de générosité, et pour que ça fonctionne vraiment, il faut que ça vienne d’un élan naturel et positif, un élan de vie. Si on le fait par contrainte, ça ne marchera pas.
Si le profil de Johanna vous intéresse et que vous souhaitez échanger, on sera ravis de vous répondre sur benga@arboriia.fr !