Qui es-tu Fanny ?

J’accompagne les entreprises, et plus particulièrement les managers, dans le recrutement, l’onboarding, la structuration et le développement de leurs équipes. J’interviens dans tous types d’entreprises, de la scale-up au grand groupe, avec une appétence particulière pour le recrutement de profils tech et digitaux.

Ce sont des profils que j’aime accompagner, d’une part parce que je connais bien ce type de métiers, et d’autre part parce que souvent, ils ne sont pas très à l’aise à l’oral, ils ne savent pas trop se vendre. Je les aide à gagner en aisance et à vulgariser leur discours, à faire comprendre ce qu’ils font à des personnes qui ne sont pas dans leur domaine d’expertise.

Parallèlement, avec mes clients, je me positionne comme une véritable partenaire, avec une posture de conseil, afin d’aider les managers à débloquer différents types de problématiques.

Pour moi, le plus important, c’est de former une équipe – avec le manager et avec le candidat – et de m’engager pleinement dans chaque mission. Parfois, un recrutement n’aboutit pas ou un candidat n’est pas retenu, mais la qualité de la relation que j’ai nouée avec l’un et l’autre est ce qui permet d’avoir le plus d’impact positif.

Mes forces pour cela ? Ma communication et mon écoute.

En matière de communication, je me fixe deux règles : répondre rapidement aux messages que je reçois et toujours faire des feedbacks réguliers aux candidats. Pour un candidat, ne pas avoir de nouvelles, ne pas savoir, est hyper frustrant, surtout à une ère où les recruteurs prennent de moins en moins le temps de faire des retours face à l’affluence de candidatures. J’essaie de contrecarrer un peu cette tendance.

Et pour bien communiquer, l’écoute est aussi primordiale. J’ai une oreille très attentive, j’écoute pleinement. J’aime écouter les histoires personnelles, les différents types de carrières…

Un autre point qui me paraît particulièrement important dans mon quotidien professionnel, c’est le partage et l’entraide.

Cela peut être le partage d’informations ou de connaissances, toujours avec cette double vision « côté candidat » et « côté manager ». Mais aussi l’entraide au sein de l’entreprise pendant mes missions.

Ces deux éléments, je les ai retrouvés au sein d’@arboriia, que ce soit lors d’échanges entre pairs, pour du partage de missions ou pour échanger des conseils entre membres que je peux solliciter quand j’ai des interrogations.

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Un peu de toi côté « Entrepreneure »…

Plus jeune, je m’étais toujours dit que je ne me lancerais pas dans l’entrepreneuriat car cela me faisait extrêmement peur. Mais au fond de moi, j’avais ce mindset, cette envie de liberté et de choisir par moi-même ce que j’ai envie de faire.

Et puis un jour, alors que j’étais en CDI et un peu frustrée d’être sur des tâches d’exécution, on m’a dit : « Pourquoi tu ne te lancerais pas en tant que freelance ? ». Cette phrase m’a aidée ! Le lendemain, j’ai créé mon entreprise et peu de temps après, j’ai démissionné et démarré ma première mission.

C’était la première fois que je prenais un tel risque, mais je ne le regrette pas. Et je me sens hyper alignée avec mes valeurs personnelles.

D’autre part, en étant à mon compte, je trouve que je suis beaucoup plus humaine, beaucoup plus libre.

Il faut néanmoins réfléchir avant de se lancer et avoir conscience des inconvénients : le fait d’être seule toute la journée, la peur de ne pas retrouver une autre mission, pouvoir poser des « vacances en illimité » mais finalement ne jamais en prendre… Et si on est OK avec tout ça, il ne faut pas tergiverser et se lancer !

Toutefois, un élément important à garder en tête est la capacité à déconnecter : savoir dire « non », se garder de la disponibilité, apprendre à faire des pauses…

Pour ma part, j’ai instauré mes rituels. Je démarre ma journée avec un matcha. Ensuite, je prends mon « plateau de travail » qui contient tout mon nécessaire (cahier, stylos…) et je choisis le lieu où je souhaite m’installer en fonction de mon humeur et du temps.

Le midi, je m’accorde une vraie pause et j’en profite pour cuisiner ou lire. Et lorsque j’ai besoin de lâcher prise, je fais du yoga ou du Pilates.

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On termine avec ton animal totem ?

Avec cette capacité à avancer seule et cet attrait pour le travail en équipe, mon animal totem est, bien sûr, le dauphin.
C’est un animal à la fois solitaire, mais qui fonctionne bien en groupe, et qui est aussi doté d’une grande intuition. Cela me correspond bien.

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Si le profil de Johanna vous intéresse et que vous souhaitez échanger, on sera ravis de vous répondre sur benga@arboriia.fr !